Document Unique : Dernier Rapport de l’Inspection du Travail (paru mars 2011)

Le rapport d’activité de l’inspection du travail pour 2009 vient de paraître

Plus de 300 000 interventions ont été menées, 90% d’entre elles ont une suite, le plus souvent liée à un constat d’infraction. La santé-sécurité occupe toujours une place prépondérante : 58% des interventions et 52% des procédures. Le nombre moyen d’interventions par agents est stable (166 pour 2009 contre 168 en 2008).

rapport inspection du travail 2010

En termes de verbalisation, le thème “santé-sécurité” concerne plus de la moitié des procédures (52 % en 2009 comme en 2008), devant le “travail illégal” et le “contrat de travail”.

Le rapport souligne que « la démarche d’évaluation des risques professionnels reste très éloignée des préoccupations, notamment des TPE, et constitue un exercice assez formel de rédaction d’un document-type, le plus souvent non actualisé« .

Concernant les « lieux de travail », si les infractions portent beaucoup sur les sanitaires, l’électricité, la sécurité incendie ou l’aération, le rapport souligne que « les conditions de travail restent largement ignorées dans le processus de conception. Dans les locaux à usage de bureaux, la logique de moindre surface s’impose, sans analyse suffisante des conséquences sur les travailleurs en termes d’ambiance sonore, de stress ou de contraintes organisationnelles. »

Vétusté, absence de protection, les équipements de travail sont souvent pris en défaut. Notamment sur les matériels destinés à l’élévation de personnes ou matériaux – ce qui explique une partie de la constance du risque chute de hauteur. En ce qui concerne l’amiante (davantage contrôlée qu’en 2008), les inspecteurs du travail relèvent la qualification insuffisante des entreprises intervenantes pour les opérations de retrait. Sur la question du risque chimique en général, les services notent aussi un suivi des expositions défaillant. Enfin, pour donner suite à la campagne 2008 sur les poussières de bois, il s’avère que les demandes de mise en conformité prononcées n’ont pas été assez suivies d’effet.

Voir le rapport complet ICI , par ailleurs je vous suggère aussi de relire notre article sur le point de vue d’un Inspecteur du Travail.

Voilà, vous savez maintenant que dans 90% des cas, un Document Unique bâclé sera suivi d’un constat d’infraction.

Suivez nos conseils sur nos sites et ne vous retrouvez pas dans ce cas de figure.

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Patrick Ducloux
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fiches document unique



Document Unique : le Stress au Travail

Le Stress au travail a été l’un des grands sujets de préoccupation des pouvoirs publics ces derniers mois, au lendemain de plusieurs suicides déplorés dans certaines grandes entreprises. Face à ce malaise grandissant, une certaine frénésie de déclarations a pu se faire jour.

Cependant, les solutions réelles restent difficiles à déterminer, notamment parce que manque une évaluation précise du phénomène.
C’est l’une des principales observations du collège d’experts pluridisciplinaires réunis sous l’égide de l’Insee ayant remis le 14 avril 2011 
un rapport à Xavier Bertrand sur l’évaluation des risques psychosociaux au travail. « Les questionnaires les plus récents proposent la mesure d’un nombre assez élevé d’indices. S’il y a finalement une certaine convergence dans la conception des questionnaires (…) aucun questionnaire ne s’impose aujourd’hui comme un standard ».

risques psychosociaux document unique

Alors que faire pour répondre à la question « risques psychosociaux et document unique ? »

Si les sources du stress sont différentes pour chacun d’entre nous, certaines techniques peuvent permettre de mieux le gérer. Des gestes à adopter aux habitudes à perdre, voici quelques conseils de gestion du stress pour mieux vivre au travail.

1) pratiquer la relaxation 
Quand on est stressé, il faut se détendre. Cette injonction peut ressembler à une évidence difficile à tenir.
Pourtant, les techniques de relaxation peuvent procurer beaucoup de bien aux personnes soumises à un stress intense.
Plus facile à appliquer, certaines techniques se révèlent assez simples à mettre en œuvre au cours d’une journée de travail.
« Certains exercices de méditation ou relaxation peuvent se faire tout seul et sont facilement utilisables au quotidien, explique Dominique Servant, responsable de l’unité stress au CHU de Lille.
Cependant, il faut les pratiquer en amont, les cultiver. » Dans son livre « Soigner le stress et l’anxiété par soi-même », il conseille par exemple de contracter différents groupes musculaires pour ensuite les décontracter et se relaxer.

2) boire moins de café
La caféine est un excitant. Et sa consommation excessive est déconseillée aux personnes stressées.
En cas de stress, il rend plus difficile le retour à l’équilibre. » Après avoir bu douze expresso, il devient un peu compliqué de retrouver un calme reposant.
Si vos engloutissez beaucoup de café alors que vous êtes soumis au stress, tentez de réduire votre consommation.
Car la boisson peut favoriser la tachycardie, l’accélération du rythme cardiaque.
Une consommation tardive de café risque aussi de perturber l’endormissement : une conséquence dont les personnes stressées peuvent facilement se passer.

3) réaliser des efforts physiques
Le sport a de multiples vertus. Pour votre santé, la pratique régulière d’une activité physique se révèle bénéfique. Encore plus si vous êtes soumis au stress. Pratiquer une activité physique régulière a des conséquences physiologiques -faire circuler les fonctions de l’organisme- et mentales, car c’est un moyen de penser à autres chose et de ne pas ruminer.
Bien évidemment, courir pendant une heure ou faire un match de tennis ne s’attaquera pas aux causes de votre stress professionnel.
Au minimum, éviter les ascenseurs, utilisez systématiquement les escaliers.
Cela ne résout pas le problème, mais cela permet de se sentir mieux.

4) accepter la contrariété
Un conflit avec son chef ? Un rendez-vous annulé ? Ces contrariétés sont elles aussi génératrices de stress chez certaines personnes.  Or, la plupart du temps, il est impossible d’avoir de prise sur ces situations que l’on subit.Il faut réussir à accepter ces événements comme des faits, même s’ils sont regrettables pour le travail.Un tel comportement nécessite d’accepter une dose de fatalité, ce qui n’est pas forcément évident. Mais il permet surtout d’éviter de ruminer certains problèmes qui ne le méritent pas pendant de longues heures.

5) ne pas reporter à demain   
La procrastination consiste à repousser au lendemain ce que l’on peut faire le jour même. Une tendance qui a tendance à s’accentuer quand l’anxiété devient paralysante. Lorsque l’on est stressé, on a tendance à repousser les décisions, or, il vaut mieux gérer les problèmes quand ils se présentent et en une seule fois.
Se fixer des objectifs pour les atteindre un par un permet de se donner l’impression d’avancer dans son travail. Si vous travaillez sur un gros dossier, vous pouvez très bien fractionner le problème et avancer petit à petit. L’insurmontable dossier de 100 pages à rédiger se révèlera moins effrayant s’il se décompose en dix objectifs de dix pages. A vous de trouver l’organisation adaptée à votre quotidien et qui vous aidera à avancer.

6) respirer  
En cas de stress, il faut souffler. Littéralement. Car une respiration qui s’emballe témoigne bien souvent d’une anxiété montante. Elle risque même de l’accentuer.
Car il est possible d’agir sur sa respiration pour se calmer. Contrairement au rythme du cœur ou à la tension, vous pouvez agir de manière volontaire sur votre respiration en respirant lentement, profondément, par le ventre et en prolongeant l’expiration ce qui constitue la base de ces exercices respiratoires. Et pour y arriver le moment voulu, mieux vaut s’entrainer à l’avance.

7) prendre du recul 
Quand le stress prend de plus en plus de place, on peut avoir tendance à se sentir submergé. Une sensation qui alimente à son tour le stress. Dans ces moments de tension, il importe de prendre du recul avec la situation stressante en se centrant sur le moment présent. Il faut se fixer sur ce qui est réel et non sur ses pensées. Bref, reprendre pied dans le monde réel pour ne pas se laisser déborder.

8.) prendre des pauses
Cela peut paraitre évident, mais au travail, les pauses s’imposent. Pour discuter, se restaurer, se reposer, se distraire… S’arrêter dans son travail se révèle bénéfique. Car ces périodes où l’on coupe avec ses tâches professionnelles permettent d’éloigner la source du stress, en l’occurrence le travail.
Malheureusement, lorsque l’on a le sentiment d’avoir la tête sous l’eau, on réagit parfois en insistant sur son travail, en refusant de perdre une minute. Or, d’un point de vue professionnel, cette réaction semble contre-productive. Quant aux grandes pauses que représentent les vacances, elles constituent évidemment des moments propices à la détente.

9) positiver
Les personnes stressées ont tendance à assombrir le tableau. Certaines pensées inconscientes voilent la réalité, au lieu de voir les choses telles qu’elles sont, on les noircit. Les raisons de ce comportement sont propres à chacun et bien souvent profondément ancrées dans notre esprit.
Dans ces moments-là, il est cependant possible de reprendre pied pour dédramatiser. Si votre chef vous demande de refaire la page 18 de votre document qui en compte 50, dites-vous qu’il en a validé 49 plutôt que de vous répéter que vous n’êtes pas à la hauteur. Il ne s’agit pas de se mentir, mais plutôt de s’efforcer de voir son travail sous un jour positif.

10) arrêter de fumer
Cela concerne maintenant une minorité de Français. Reste que ce qui est vrai avec le café l’est aussi avec la cigarette, à ranger elle aussi dans la catégorie des excitants. On le sait, arrêter de fumer est difficile. Quand la dépendance est forte, oublier le tabac se révèle ardu. D’autant plus si la personne est stressée : les fumeurs auront tendance à s’en griller une lorsque l’anxiété monte.
Mais, si la pause cigarette permet de se calmer les nerfs, ce n’est pas forcément grâce au tabac, c’est surtout grâce à la pause. En fumant moins, vous baissez votre niveau de stress… ce qui vous donnera moins envie de fumer.

11) rechercher du soutien  
Il n’est pas rare que les personnes, même si elles ont pris conscience de leur stress, préfèrent garder leurs tensions pour elles. Or, il est très important de trouver une personne avec qui en discuter.
Mais trouver la bonne personne est important : il est bien évidemment difficile de se livrer à votre manager si c’est lui qui est source de votre stress.
Il y a forcément des personnes relais au sein de l’entreprise : l’infirmière, les anciens, les responsable du personnel, le CHSCT, les RH… »

12) se fixer ses limites
Et si, pour éviter de se sentir dépassé, vous définissiez les limites de ce que vous pouvez faire ? Et si, surtout, vous le faisiez savoir ? Il faut savoir dire à votre responsable que tel dossier ne vous revient pas, que telle mission n’est pas dans vos cordes ou encore que les délais sont trop courts. Les managers n’ont pas intérêt à ce que les gens craquent, au contraire quand tout semble aller, alors pour eux tout va bien.
Tout le monde n’est certes pas aussi à l’aise pour dire non. Mais tout le monde est susceptible de subir le stress qui en résulte.

13) accepter l’imperfection (la sienne et celle des autres)  
Etre perfectionniste est en général considéré comme un atout dans le monde professionnel. Pourtant, rechercher à être au maximum tout le temps peut aussi conduire à se fixer des objectifs irréalistes, à refuser les erreurs et à vivre difficilement ses faiblesses. Ce qui risque de conduire à un stress exacerbé.
Il faut se libérer de l’idée selon laquelle on doit être à 120% à tout moment. Lorsque vous rentrez dans une salle pour une présentation, ne vous attendez pas à ce que la vingtaine de participants en sortent admiratifs. Certains ne seront pas intéressés, d’autres somnoleront, pour des raisons qui n’ont d’ailleurs pas forcément de lien avec vous.

14) retrouver le sommeil
Un stress qui dure, ce sont des nuits qui raccourcissent. Les troubles du sommeil peuvent signifier que l’on est sous tension, en cas de stress, le corps reste en alerte par rapport à un changement de l’environnement. La crainte d’un chef, les délais pour un dossier ou toute autre source de stress gâchent bien des nuits.
Bien évidemment, ces problèmes sont des conséquences de l’anxiété. Mais ils les nourrissent aussi : en dormant mal, vous ne récupérez pas, vous êtes plus fatigué, plus irritable… et plus stressé. Prenez donc les mesures utiles pour passer une bonne nuit : évitez les efforts avant l’endormissement, limitez les excitants et, là encore, efforcez-vous de penser à autre chose.

15) adapter son environnement de travail
L’environnement de travail peut être générateur de stress. Les relations avec vos supérieurs, les délais qui vous sont imposés ou encore le contexte économique. Mais plus sommairement, le lieu dans lequel vous travaillez peut aussi se révéler stressant. Lutter contre le stress commence tout simplement par fermer la fenêtre d’où proviennent les bruits d’un chantier.
L’open-space est bien évidemment souvent considéré comme un environnement générateur d’anxiété. S’il est difficile d’exiger un bureau personnel et un double vitrage, peut-être pouvez-vous trouver les moyens de vous isoler ? Une musique zen dans les oreilles est autrement plus relaxante que le brouhaha de collègues bavards.

16) se faire plaisir
Bien évidemment, tout le monde a intérêt à se faire plaisir. Mais les personnes sous l’emprise du stress auront tendance à négliger cet aspect essentiel de la vie quotidienne. Focalisées sur leurs échéances à respecter ou les exigences auxquelles il faut répondre, elles peuvent mettre de côté leur bien-être personnel.
En prenant un bain, en faisant du shopping ou en écoutant votre musique préférée, vous trouverez le moyen de fuir le stress, de penser à autre chose. Vous serez ensuite dans un meilleur état d’esprit pour retourner à vos activités professionnelles.

Voilà, vous avez maintenant 16 astuces concrètes pour compléter votre Document Unique sur le thème du stress au travail.

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Document Unique : Déterminer les risques, Proposer un Plan d’Actions.

 Souvent, le plus difficile est de se mettre en route et comme dit le proverbe : « Il n’y a que le premier pas qui coûte. »

Nous vous proposons une méthode issue de la démarche Qualité appelée diagramme d’Ishikawa ou encore méthode des 5M.

Cette démarche permet d’identifier les risques potentiels lors de l’Evaluation des Risques Professionnelles.
Il convient ensuite, dans le Document Unique de proposer un Plan d’Actions
visant à réduire les risques, voire les supprimer

La démarche est basée sur un travail de groupe. Il est important de former une équipe de travail pluridisciplinaire et de faire participer chaque membre.

document unique plan actions

Quels sont les 5 M ?

M1 = MAIN D’OEUVRE

Par qui est réalisé le travail ?

Le salarié est-il apte ?

Quelle est la date de sa dernière visite médicale ?

A t-il l’age requis (plus de 18 ans) pour les travaux dangereux ?

A t-il la formation adéquate ?

etc.

M2 = MATERIEL

Avec quoi réalise t-on le travail ?

Les machines, outils utilisés sont-ils adaptés au travail ?

Les machines, outils utilisés sont-ils conformes ou utilisés en respectant les règles de sécurité (mise en conformité des machines fixes et mobiles) ?

Les machines, outils utilisés sont-ils adaptés au travail ?

Les machines, outils utilisés sont-ils vérifiés par des organismes, vérificateurs agrées ?

etc.

M3 = METHODE

Comment s’effectue le travail ?

Qui s’occupe de l’organisation et de la répartition des tâches et comment fait-il ?

Qui s’occupe de l’accueil du personnel temporaire et comment fait-il ?

Existe t-il un livret d’accueil, une viste de l’entreprise avec l’intérimaire pour le passage des consignes et l’information des zones ou machines à risques ?

Existe t-il des fiches de postes ou des procédures à suivre ?

etc.

M4 = MATERIAU

Quels matériaux ou produits sont utilisés ?

S’agit-il d’un travail au contact de végétaux, d’animaux, de produits chimiques, produits phytosanitaires suceptibles d’intoxication, brûlure, allergie… ?

Etc.

M5 = MILIEU

Quelle est la topographie du sol (parcelle pentue, glissante, accidentée, etc.) ?

Quelles sont les conditions d’hébergement (bruit, poussière, température, etc.) ?

Quel est le climat social dans l’établissement ?

etc.

Quel plan d’actions ensuite ?

Les 9 principes de prévention (loi de 1991)

Le chef d’établissement prend les mesures nécessaires pour assurer la sécurité et protéger la santé physique et mentale des travailleurs de l’établissement, y compris les travailleurs temporaires. Ces mesures comprennent les actions de prévention des risques professionnels, d’information et de formation ainsi que la mise en place d’une organisation et de moyens adaptés. Pour bien remplir cette partie du Document Unique, l’inrs a illustré, par de courtes vidéos, les mesures de prévention qui doivent respecter l’ordre suivant :

P1)     éviter les risques ; voir vidéo document unique INRS 1

P2)     évaluer les risques qui ne peuvent être évités ; voir vidéo document unique INR 2

P3)     combattre les risques à la source ; voir vidéo document unique INRS 3

P4)     adapter le travail à l’homme en particulier lors de la conception des postes de travail, du choix des équipements de travail, des méthodes de travail et de production afin de limiter le travail monotone et cadencé au regard de leurs effets sur la santé ; voir vidéo document unique INRS 4

P5)     tenir compte de l’état d’évolution de la technique ; voir vidéo document unique INRS 5

P6)     remplacer ce qui est dangereux par ce qui n’est pas dangereux ou par ce qui est moins dangereux ; voir vidéo document unique INRS 6

P7)     planifier la prévention en y intégrant, dans un ensemble cohérent, la technique, l’organisation du travail, les conditions de travail, les relations sociales et l’influence des facteurs ambiants ; voir vidéo document unique INRS 7

P8)     prendre les mesures de protection collective en leur donnant la priorité sur les mesures de protection individuelle ; voir vidéo document unique INRS 8

P9)      donner les instructions appropriées aux travailleurs. voir vidéo document unique INRS 9

Voilà, vous avez maintenant une méthode robuste pour commencer concrètement votre Document Unique avec un vrai Plan d’Actions.

Pour aller plus loin, si vous souhaitez avoir un outil pour réaliser plus facilement votre évaluation des risques professionnels, lisez ce comparatif.

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Document Unique : il doit être facile à comprendre

Aujourd’hui nous traitons d’un thème important, la lisibilité du Document Unique.

document unique lisible

L’article R.4121-4 du Code du travail dispose que le Document Unique d’Evaluation des Risques est tenu à la disposition des « travailleurs », ce qui signifie de manière simple (ce ne devrait pas nécessiter de formation spécifique pour celui qui souhaite consulter le Document Unique).

L’article R.4141-3-1 du Code du travail dispose que l’employeur informe les travailleurs sur les risques pour leur santé et leur sécurité. Cette information porte sur les mesures de prévention des risques identifiées dans le Document Unique d’Evaluation des Risques.

L’article R.4141-2 du Code du travail dispose que l’employeur informe les travailleurs sur les risques pour leur santé et leur sécurité d’une manière compréhensible pour chacun.

Par conséquent, le Document Unique se doit d’être construit de la manière la plus lisible possible tout en étant complet, afin que les travailleurs, quelque soit leur niveau d’instruction, puissent en prendre connaissance facilement.

Cette obligation de lisibilité sonne le glas des documents uniques complexes à usage exclusif de spécialistes.

Qu’en est-il de votre Document Unique ?

Inscrivez-vous ICI pour voir une démonstration de Document Unique facile et lisible pour tous.

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